Welcome and Enjoy Your Stay!
Recent ARTICLES

Les dingodossiers, tome 1 TELECHARGEMENT GRATUIT

  • Broché: 96 pages
  • Editeur : Dargaud (7 juin 1996)
  • Collection : Les Dingodossiers
  • Langue : Français

Chez Gotlib, l'humour est une affaire très sérieuse. Et si possible à traiter sous tous ses aspects... Les hilarantes Rubriques-à-brac, la bible de l'humour, en sont les exemples les plus démonstratifs, sans oublier Les Dingodossiers, Les Trucs-en-vrac, Les Cinemastock, etc. Attention : la lecture assidue de ces albums peut provoquer des crises de fous rires aiguës. On vous aura prévenu.

Au départ, il y avait les Dingodossiers. De petites scènes de la vie quotidienne, croquées par Marcel Gotlib d'après des scénarios de René Goscinny, père d'Astérix et rédacteur en chef de l'hebdomadaire Pilote. En 1967, Goscinny décida de mettre fin aux Dingodossiers. Mais il encouragea son dessinateur à inventer ses propres histoires. Gotlib retroussa ses manches et laissa libre cours à son imagination : La Rubrique-à-brac était née. De 1968 à 1972, elle devait faire souffler un vent de douce folie créatrice dans les pages de Pilote. Cocktail de parodie, de dérision, d'absurde et de caricature, elle exprimait toutes les facettes du talent de l'auteur, dessinateur hors pair mais aussi scénariste, dialoguiste et lettreur. Gotlib a mis en scène des personnages inoubliables : le professeur Burp, la fameuse coccinelle ou encore Isaac Newton, le malheureux qui devait découvrir la théorie de l'attraction universelle rien qu'en recevant une pomme sur la tête... Un des chefs-d'œuvre de la bd d'humour. --Gilbert Jacques --Ce texte fait référence à l'édition Cartonné .

Biographie de l'auteur

Né en 1926, René Goscinny est l'une des figures les plus importantes de la bande dessinée franco-belge. À la fois écrivain reconnu, humoriste et scénariste de bande dessinée, l'ensemble de son oeuvre est, encore de nos jours, célébrée dans le monde entier. Créateur d'Astérix, du Petit Nicolas, d'Iznogoud, et l'un des principaux scénaristes de Lucky Luke, Goscinny est toujours l'un des auteurs français les plus lus et connus à l'étranger, avec plus de 500 millions d'ouvrages vendus à son actif. Il nous a quittés en 1977, à l'âge de 51 ans. Né le 14 août 1926 à Paris, René Goscinny passe son enfance en Argentine, entre Buenos-Aires et la Pampa. Après des débuts prometteurs de sous-aide-comptable d'un aide-comptable dans une usine de récupération de vieux pneus, il entre comme apprenti dessinateur dans une agence de pub. À 19 ans, il part conquérir l'Amérique et, plus précisément, les studios Walt Disney. Très vite, promu chômeur, il ne rencontre jamais Walt Disney, mais tombe par hasard sur la bande du futur magazine Mad - Harvey Kurtzman, Jack Davis et Will Elder - , et se sent beaucoup moins seul : l'humour anglo-saxon coïncide parfaitement avec sa propre manière d'envisager les choses. Il rencontre Morris à New-York, Jean-Michel Charlier à Bruxelles et Albert Uderzo à Paris, à la World Press, petite agence belge dont il dirige le bureau parisien créé en 1951. Les auteurs de l'époque étant payés avec un lance-pierres, le stakhanovisme s'impose : Goscinny, qui a compris que son talent s'épanouissait plus efficacement dans le scénario que dans le dessin, met en chantier une foule de bandes dessinées (parmi lesquelles Oumpah-pah, Strapontin et Luc Junior). Il tape des kilomètres d'articles et de nouvelles (pour le Pariscope et l'Os à Moelle, entre autres) et tient même un temps la rubrique savoir-vivre de Bonnes Soirées. En 1955, il reprend le scénario de Lucky Luke et anime avec Sempé une version en bande dessinée du Petit Nicolas... Ce personnage connaîtra sa véritable notoriété sous la forme de textes illustrés, publiés quelques années plus tard dans Sud-Ouest, puis Pilote. En 1956, un crash irréversible se produit avec la World Press : Goscinny, Charlier et Uderzo, désireux de promouvoir ce métier qui n'en est pas un, rédigent une très sulfureuse Charte des auteurs, qui leur vaut de se retrouver sur le pavé du jour au lendemain - et sur la liste noire de tous les éditeurs. En compagnie de Jean Hébrard, un des responsables commerciaux de la World Press, ils fondent alors Édifrance, une petite agence de presse. En 1959, ils prennent une part active au lancement de l'hebdomadaire Pilote. Avec Uderzo, Goscinny y signe le premier épisode des aventures d'Astérix ; il en partagera ensuite la rédaction en chef avec Charlier. En 1962, il crée Iznogoud avec Jean Tabary. En 1965, il invite Marcel Gotlib à collaborer aux Dingodossiers. Après mai 1968, il installe dans Pilote les inoubliables pages d'actualités, puis anime, sur Europe 1, « le Feu de camp du dimanche matin », avec Gébé, Fred et Gotlib. Entre-temps, sans la moindre promotion, au bouche à oreille, le petit Gaulois a connu une irrésistible ascension : en 1965, le premier satellite français est baptisé Astérix et, quelques années plus tard, les albums sont traduits dans une trentaine de pays, sans compter l'espéranto et le latin qui ne sont pas des pays, mais des langues... Pendant que le boom Astérix secoue la bande dessinée, la faisant passer du statut de maladie infantile à celui d'art respectable, Goscinny, qui n'a pas son pareil pour reconnaître et cultiver les talents, fait de Pilote un laboratoire de création où s'épanouit la nouvelle bande dessinée, avec Gotlib, Fred, Giraud, Reiser, Cabu, Bretécher, Mandryka, Mézières, Druillet, Tardi, F'Murrr, Bilal, etc. En 1973, et tandis que le trio Mandryka-Bretécher-Gotlib s'éloigne de Pilote pour prendre en charge le tout nouvel Écho des Savanes, il offre la rédaction en chef du journal à Guy Vidal. En 1974, il crée avec Uderzo et Georges Dargaud, les Studios Idéfix, qui donnent naissance aux Douze travaux d'Astérix en 1976, tandis que sort le 23º album du petit Gaulois, tiré à 1 300 000 exemplaires. Goscinny avait une foule de projets : l'édition, la télé (malgré son "atmosphère de bureau de poste en faillite") et, surtout, le cinéma. Scénariste de l'irrésistible Viager, réalisé en 1972 par Pierre Tchernia, il s'était enthousiasmé pour cette autre façon de faire rire, puisque c'était sa vocation. Mais l'histoire s'arrête le 5 novembre 1977, tandis que l'équipe des Studios Idéfix travaille sur la Ballade des Dalton, perpétuant son rêve le plus ancien : après tout, il était parti en Amérique conquérir les studios Walt Disney...

Marcel Gotlib est l'un des auteurs majeurs de la bande dessinée franco-belge. À la fois dessinateur et scénariste de talent, il a travaillé avec d'autres auteurs prestigieux tels que Franquin, Goscinny, Alexis, Uderzo et Mandryka. C'est avec ce dernier et Claire Brétécher qu'il fonde le journal L'Écho des savanes en 1972. Gotlib lance également sa propre revue en 1975, Fluide Glacial, dont il rédige toujours l'éditorial. Il est aussi connu pour son travail dans le cinéma, que ce soit pour ses qualités de scénaristes ou pour ses apparitions dans divers films. Gotlib naît le 14 juillet 1934 à Paris. Tout môme, il exerce ses talents en tartinant les murs de l'appartement familial de graffitis que son père, peintre en bâtiment de son état, lessive régulièrement : "Chaque dimanche, mes gravures rupestres disparaissaient comme par magie. Je disposais toujours de surfaces bien propres pour recommencer à tout dégueulasser." Après une scolarité sans histoire, il se divise en trois : comptable à l'Office commercial pharmaceutique le jour, il suit les cours du soir des Arts appliqués, et s'adonne le dimanche au théâtre amateur. Cette dernière activité donne un résultat inattendu : répétant chez un copain dont le père dessine pour Le Pèlerin, il est galvanisé par cet exemple, porte son dossier au journal de Mickey et gagne une place de lettreur dans les studios d'Edi-Monde. Après 28 mois de service militaire en Allemagne, il décroche quelques travaux — albums de coloriage et contes pour enfants — qu'il exécute avec une certaine Claudie. En 1962, il dépose un dossier chez Vaillant, épouse Claudie et part en vacances. À son retour, on le cherche partout : il est sommé de livrer une page par semaine à Vaillant. D'où la naissance de Nanar et Jujube, série dans laquelle va prospérer Gai-Luron, cousin putatif de Buster Keaton et Droopy, qui réapparaîtra dans Vaillant puis Pif Gadget jusqu'en 1971. Mais ce qui l'obsède, c'est Pilote. Il en rêve la nuit sans oser y aller. "C'était le phare de tout le monde, mais pour un débutant comme moi, ça n'était même pas pensable." De temps en temps, il appelle la rédaction et raccroche. Enfin, dégoulinant de trac, il s'y présente un jour de 1965 avec un échantillon de son travail — six pages racontant les affres d'un auteur de BD comique — qu'il croit impubliable : la BD de l'époque est vouée aux héros (Tintin, Tarzan), et pas du tout aux problèmes de l'auteur. Mais Pilote le publie, et trois mois après, Goscinny lui propose de travailler avec lui sur Les Dingodossiers. Ce qui fait de Gotlib un homme honoré et heureux, mais vachement crispé : Goscinny ayant l'habitude de travailler avec des dessinateurs de la trempe d'Uderzo et Morris, il se sent un peu faiblard. D'ailleurs, au début, il l'est. Il apprend sur le tas, en dessinant des embouteillages, des phares bretons et toutes sortes de machins purement décoratifs — que Goscinny adore lui faire dessiner. Deux albums sont crées en 1967 et 1972, dans l'esprit du magazine de B.D. satirique américain Mad. En avance sur leur temps, les Dingodossiers sont fraîchement accueillis, et Gotlib se fait engueuler par ses copains : il faut qu'il se trouve un héros, ce style de BD ne mène nulle part. En fait, elle mène tout droit à la Rubrique-à-brac, que Gotlib attaque en 1968, quand Goscinny, dépassé par le boum Astérix et le boulot qui en découle, lui demande de continuer en solo. En 1970, il scénarise Les Clopinettes dessinées par Mandryka, et Cinémastock, un pur joyau de rigolade qui doit autant à son talent burlesque qu'au fabuleux dessin d'Alexis. En 1971, il balance dans Rock and Folk une parodie du scoutisme plutôt décapante, Hamster jovial. En 1972, il crée avec Lob la série Superdupont, qui sera monté dix ans plus tard au théâtre par Jérôme Savary et son Grand Magic Circus. Superdupont (comme son nom l'indique) est un super héros français, affublé de tous les clichés chauvins imaginables, qui rencontre à l'époque un franc succès. C'est aussi en 1972 qu'il lance L'Écho des savanes avec Bretécher et Mandryka. En totale liberté, il pousse le bouchon encore plus loin et se met à rigoler avec les choses graves comme Dieu, le sexe et la scatologie : Rhââh lovely ! (1976). Il fait ça pour amuser sa crémière et les copains, mais l'explosion de l'Écho, qui ne dure pour le trio que le temps de dix numéros, éclabousse largement le monde de la BD. En 1972, il joue un gardien de prison dans L'An 01 de Gébé. On l'aperçoit en 1984 dans le film Les Doigts de la tête de Jacques Doillon et en 1986 dans Je hais les acteurs de Gérard Krawczyk, et il est (évidemment) le héros de And my name is Marcel Gotlib, court-métrage de Patrice Leconte commandé par la télé et jamais diffusé. Il réapparaît au cinéma en 2002 dans Le Nouveau Jean-Claude de Didier Tronchet et également en 2003 dans Les Clés de bagnole de Laurent Baffie. En 1975, il co-scénarise Les Vécés étaient fermés de l'intérieur (le premier long métrage de Patrice Leconte avec Coluche, son premier long métrage aussi) et Jean Rochefort et fonde, avec son copain d'enfance Jacques Diament, le mensuel Fluide Glacial, qui va résister à tous les naufrages de la presse du genre. C'est dans ces pages qu'il crée en 1981 Pervère Pépère— l'un de ses derniers exploits graphiques, puisqu'il abandonne peu à peu le dessin au cours des années 80. En effet, il se consacre plutôt à la rédaction de l'éditorial de Fluide Glacial. En 1991, il est intronisé Grand Prix d'Angoulême, et, selon la coutume, une exposition lui est consacrée l'année suivante, EuroGotlibLand. Gotlib est fait Chevalier des Arts et des Lettres en 1975, puis Chevalier de la Légion d'Honneur et reçoit le prix Raymond Poïvet à Angoulême en 2001 (à l'instar de Uderzo ou même Pétillon) et le grand prix Saint-Michel en 2007. Après avoir rédigé une foule d'éditos hilarants pour Fluide Glacial, il publie en 1993 chez Flammarion J'existe, je me suis rencontré, roman autobiographique bourré d'humour et d'émotion, où il raconte sa vie d'enfant juif pendant l'Occupation. Plus récemment, des intégrales de ses oeuvres cultes sont sorties chez Dargaud (Cinémastock, Les Dingodossiers, Rubrique-à-brac) en 2002 et 2005 ainsi que l'intégrale de Nanar, Jujube et Piette chez Glénat en 2006. On a aussi pu l'apercevoir dans des albums collectifs comme Rire contre le racisme en 2006 et Les enfants du XXIe siècle en 2008. La même année est sortie le 6ème tome de SuperDupont aux éditions Audie-Fluide Glacial, 13 ans après la publication du cinquième tome. Site internet : http://marcelgotlib.com

L'étoile du desert : L'intégrale, tomes 1 et 2 TELECHARGEMENT GRATUIT

  • Album: 112 pages
  • Editeur : Dargaud (1 novembre 2001)
  • Collection : Etoile du Desert
  • Langue : Français


Mathew Montgomery est un homme vieillissant. Il occupe un poste de haut fonctionnaire au ministère de la Défense. Il a une femme, une fille, une maîtresse... Alors qu'il a l'impression d'être passé à côté de sa vie, sa femme et sa fille sont sauvagement assassinées. Mathew abandonne alors tout ce qui faisait son monde, pour se lancer sur les traces de leurs assassins...
L'album de Desberg et Marini traîne des allures de western. Mais son propos est tout autre. L'Étoile du désert est un récit intime. L'Amérique de la Conquête de l'Ouest n'est ici qu'un décor grandiose dans lequel un homme cherche un sens à sa vie... Son histoire lui ressemble. Au début, toute de violence contenue, puis... sa quête le mène à Topeka, frontière du Texas, antichambre de l'enfer. Et là, c'est le choc ! Entraîné dans un tourbillon de sauvagerie et de sensualité, Mathew se révèle enfin à lui-même...
Dans cette série, Desberg nous relate avec force une formidable aventure humaine. Les planches trois bandes de Marini, ses cases béantes, hantées par l'âpreté du récit, nous poursuivent comme des visions. --romat

Prince Valiant, Intégrale : Volume 1 : 1937-1938 TELECHARGEMENT GRATUIT

  • Broché: 110 pages
  • Editeur : Soleil Productions (31 octobre 2012)
  • Collection : L'âge d'or
  • Langue : Français

Durant près de 35 ans, Harold Foster a écrit et dessiné Prince Valiant pour les Funnies, les pages dominicales des journaux américains. Trésor de l'Age d'Or aux Etats-Unis, oeuvre fondatrice de la bande dessinée mondiale, unanimement reconnu comme le plus grand Sunday Strip d'aventures jamais réalisé, Prince Valiant a fait l'objet de différentes intégrales au cours des dernières décennies. Cette nouvelle édition, utilisant les techniques les plus modernes de copie et de correction des couleurs, rend enfin pleinement justice à la magnificence de ses dessins. Ce volume regroupe l'intégralité des deux premières années de parution de Prince Valiant, une interview d'Hal Foster accompagnée de photos et d'illustrations rares, ainsi qu'une biographie écrite par Brian M. Kane, un spécialiste de l'auteur. Un chef-d'oeuvre éternel, indispensable à tout passionné de bande dessinée.

L'Incal, Tome 5 : La cinquième essence : Première partie : Galaxie qui songe TELECHARGEMENT GRATUIT

  • Album: 48 pages
  • Editeur : Les Humanoïdes Associés (18 mai 2011)
  • Collection : HUMANO.HUMANO.
  • Langue : Français

En six chapitres, c'est à dire deux cent quatre-vingt-douze pages dessinées en huit ans, Alexandro Jodorowsky et Moebius ont renouvelé avec l'Incal la science-fiction en bande dessinée. Pour raconter la légende d'un minable détective privé, John Difool, qui devient un sauveur cosmique, ils ont mélangé les genres et les symboles, l'aventure héroïque et les tarots, la quête initiatique et le rêve, les rebondissements et la parodie, composant une fresque magique et picaresque, le premier roman graphique qui aura marqué plusieurs générations de lecteurs dans le monde.
--Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
 
 
 

Une trop bruyante solitude TELECHARGEMENT GRATUIT

  • Poche: 120 pages
  • Editeur : Robert Laffont (8 octobre 2007)
  • Collection : Pavillons poche
  • Langue : Français


Une trop bruyante solitude, d'abord diffusé en 1976 à Prague sous forme de "samizdat" (publication clandestine), est sans doute le livre qui a valu au grand écrivain tchèque le plus de notoriété. Majestueux cri de révolte lancé à l'assaut des sociétés totalitaires, l'histoire du narrateur, ouvrier dans une usine de vieux papiers destinés au recyclage, n'est pas sans faire penser - mutatis mutandis - au 1984 d'Orwell. Car notre héros, instruit presque malgré lui par la lecture des ouvrages interdits destinés au pilon (la Bible, le Talmud, les écrits de Lao-tseu entre autres), va faire renaître ces chefs-d'œuvres sous la forme d'une autre œuvre d'art (qui n'est pas sans rappeler les travaux d'un Jiri Kolar) : les pages broyées sont transformées en balles de papier décoratives ! Divers incidents et personnages tragicomiques viennent émailler cette fable sensible et émouvante qui invite le lecteur à une aimable réflexion sur le moderne, digne à la fois de nos philosophes des Lumières et des meilleurs esprits libertins.

Un oncle nommé Hergé TELECHARGEMENT GRATUIT

  • Broché: 280 pages
  • Editeur : Archipel (6 février 2013)
  • Collection : Arts, littérature et spectacle
  • Langue : Français

Georges Rémi Jr est l'homonyme de son oncle, plus connu sous son nom de plume : Hergé (22 mai 1907- 3 mars 1983). Il raconte ici ses souvenirs avec tristesse et révolte, le sentiment d'un rendez-vous manqué.
Mais comment se faire une place au soleil alors que domine l'ombre projetée par le créateur de Tintin ? Entre un père, peintre équestre de talent, et un oncle célèbre, ombrageux et susceptible ?
À la fois candide et sincère, Georges Rémi Jr raconte pour la première fois le destin de son père, ses relations difficiles avec Hergé et ses proches. Le livre raconte aussi la succession mouvementée du créateur de Tintin. Un témoignage où se mêlent joies et chagrins, admiration et colère, étonnements et déceptions...

Extrait

Extrait de la préface

L'ouvrage que vous avez sous les yeux devrait vous étonner, du moins son titre. On aurait pu aussi l'intituler Georges II, L'Autre Georges, Georges Remi Jr, ou tout simplement Le 190e.
«Ah oui, mais le cent quatre-vingt-dixième quoi ?», se demanderont les lecteurs français. «Le cent-nonantième quoi ?», s'interrogeront les Belges. Et vous, lecteur, avez-vous deviné ? Dès lors, atteignons le plus rapidement possible le deux centième ouvrage sur Hergé pour ne plus avoir à utiliser les deux langues. Nous frôlons d'ailleurs ce nombre.
Soit dit en passant, je les possède tous, du premier au dernier, à l'exception des éditions pirates. Sachons respecter Tintin et Hergé sans oublier Milou, qui fut l'auteur, je dis bien l'auteur - grâce à Ariane Valadié -, d'un livre adorable qui a vu le jour en 1993. Son titre : Ma vie de chien.
Le premier livre sur Hergé parut en 1957 - Le Monde de Tintin, de Pol Vandromme -, et le deuxième dix-huit ans plus tard seulement. Il s'agissait de Tintin et moi, entretiens avec Hergé, de Numa Sadoul. Trente-huit ans plus tard encore (nous sommes en 2013) paraît un ouvrage très particulier, différent de tous les autres pour la simple raison qu'il est l'oeuvre d'un membre de la famille d'Hergé, proche de lui malgré la différence d'âge, portant le même prénom et partageant les mêmes passions : les bateaux (La Licorne, LîIe noire, Le Trésor de Rackham le Rouge, L'Oreille cassée... le capitaine Haddock), le dessin et la peinture...
Hergé avait un frère, Paul, qui eut un fils, Georges. C'est ce Georges-là qui est l'auteur de ce livre, le neveu. (Depuis le temps que je l'attendais, moi, ce bouquin !) Georges Remi va nous raconter ses aventures avec Georges Remi. Il ne devait pas être simple d'être son neveu. Pas facile non plus visiblement d'être son oncle. Vous jugerez !
Vous allez vivre des instants émouvants. Georges n'a rien oublié, c'est pourquoi je lui ai conseillé de les revivre, car il en parlait de temps en temps. Il raconte ses souvenirs avec tendresse, un rien de révolte, quelques regrets aussi. Précisons que les rapports entre Moulinsart et lui ne furent jamais excellents, même si le «chef du château» me parlait de Georges en disant : «Ow, mon beau neveu», avec l'accent anglais bien sûr.
Je ne citerai qu'une phrase du neveu qui me semble importante. Elle fut prononcée en 1997, lors d'une assemblée générale des Amis de Hergé, devant une salle comble et face au «grand patron du château» : «La première chose que je veux dire, c'est que je suis très malheureux de voir les polémiques incessantes qui tournent autour de l'oeuvre de mon oncle depuis son décès. Je suis malheureux de voir le mauvais usage et les erreurs continuelles que l'on commet depuis qu'Hergé n'est plus là.»

Nos années Strange 1970-1996 TELECHARGEMENT GRATUIT

  • Broché: 176 pages
  • Editeur : Flammarion (28 septembre 2011)
  • Collection : ARTS ET SPECTAC
  • Langue : Français

Aujourd'hui, tout le monde connaît Superman, les X-Men ou le géant Hulk. Les super-héros sont plus que jamais sur le devant de la scène, à commencer sur grand écran. Le mensuel mythique Strange a popularisé ces super-héros, en publiant de 1970 à 1996 pas moins de 300 numéros, diffusés à plusieurs dizaines de milliers d'exemplaires chaque mois. Il mettait alors à la portée du jeune lectorat français les aventures exceptionnelles de héros puissants habités par un grand idéal de justice. Nos années Strange s'adresse à toute cette génération de lecteurs qui ont grandi avec ce mensuel et tout l'imaginaire qui y était attaché. Présentant chaque héros, l'histoire de sa publication dans Strange et autres, ainsi que les adaptations au cinéma et à la TV, sans oublier les produits dérivés associés, cet ouvrage est très richement illustré de visuels désormais cultes. Alors qu'en 2011, 5 films adaptés de comics sortent sur les écrans français, voici le livre essentiel pour tous les fans de super-héros !

Biographie de l'auteur

Né six mois après Strange, Jean-Marc est tombé dans la BD quand il était petit. A dix ans, il dessine de nouvelles aventures de Goldorak et des X-Men, et commence à inventer ses propres, super-héros. Après quelques années dans les fanzines, il devient illustrateur, pour des agences de publicité et pour les couvertures des Pockets de Semic, comme Rodéo, Kiwi ou Mustang. Ancien bouquiniste, ancien éditeur de comics chez Semic et Bamboo, Jean-Marc est également traducteur, conférencier et auteur des Manuels de la BD chez Eyrolles. En tant que scénariste, il a écrit la série Omnopolis chez Bamboo, le diptyque Grands Anciens et le troisième tome de la série 42 : Agents Intergalactiques chez Soleil, et rédigé les aventures de Mickey à travers les mondes dans Le Journal de Mickey. Il est l'auteur d'une monographie consacrée à Frank Miller, parue aux Moutons électriques, résultat de trente ans de lecture passionnée. Si Sébastien a réclamé à sa Maman un apprentissage à la lecture très tôt, c'est pour comprendre ce que pouvaient se raconter les fascinants personnages de Strange et consorts. Et notamment l'Araignée, dont il suivait les aventures à la télé, et qui était son préféré. Alors lorsque ses yeux se posèrent sur une énorme boîte orange avec un gigantesque Spider-Man de 30 cm à l'intérieur, au détour d'une visite chez le marchand de journaux à Cassis avec son Papa, ce dernier n'eut d'autre choix que de sortir quelques pièces de 10 FF pour son fiston. Ce fut le début de la fin. Ainsi, en 2008, Sébastien a été le coauteur de Nos jouets 70-80 chez Hors Collection. Il compte aussi quelques participations à des magazines comme Geek le Mag ou Comic Box, et a fait partie du collectif d'auteurs ayant contribué à l'ouvrage Et soudain, ils se parlèrent : 30 ans de vie française, au Cherche Midi, à l'occasion des 30 ans de McDonald's France.
 
Support : Creating Website | Johny Template | Mas Template
Copyright © 2011. Telechargement - Livres - All Rights Reserved
Template Created by Creating Website Published by Mas Template
Proudly powered by Blogger